Mirez-vous ?

Un seul éclat de vous
et je suis chamboulé.
Quel charme fut jeté ?
C’est à en devenir flou.

Les herbes deviennent des secondes
et les ombrelles deviennent des années.
Elles s’amusent, frivoles, à se balancer,
danseuses captives de la ronde.

Votre sourire m’aiguille,
me berce et apaise ma folie,
fiévreuse balançoire.

Allons jusqu’au bord d’un soir,
attendons que le ciel se dévoile,
on pourrait y surprendre les étoiles.

Publicité

Laisser un commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s